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Liaison, 9 mars 2006

 

 
De passage à la Bibliothèque des sciences humaines, Marie José Thériault pose ici entourée de Josée Fontaine, du Service des bibliothèques, également étudiante au Département des lettres et communications (DLC), ainsi que de Martin Doré, étudiant au DLC.

De passage à la Bibliothèque des sciences humaines, Marie José Thériault pose ici entourée de Josée Fontaine, du Service des bibliothèques, également étudiante au Département des lettres et communications (DLC), ainsi que de Martin Doré, étudiant au DLC.

Photo : Roger Lafontaine

 


Marie José Thériault : pour la survie du patrimoine littéraire

Invitée par le Groupe de recherche sur l'édition littéraire au Québec, Marie José Thériault était de passage à l'Université, le 24 février, pour prononcer une conférence intitulée Le livre comme lieu d'échanges et de mémoire. Elle en a profité pour livrer un vibrant plaidoyer pour la survie de l'édition patrimoniale québécoise.

Fille de l'écrivain Yves Thériault, Marie José Thériault déplore que des œuvres marquantes de la littérature québécoise, comme celles de son père, de Gilbert LaRoque ou de Gérard Bessette soient délaissées. C'est pourquoi elle a fondé, en 2003, les Éditions Le dernier havre où elle réédite notamment les textes de son père, mort en 1983.

Les programmes de subventions qui existent actuellement ne font, selon elle, aucune place à la réédition de ces œuvres significatives qui, faute de connaître un lectorat important, sont condamnées à l'oubli. Pour protéger ces écrits, elle propose la notion d'édition patrimoniale : des rééditions soignées d'œuvres importantes financées par des subventions gouvernementales.

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