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Symposium

Au croisement des univers juridique et religieux : le meilleur intérêt de l’enfant

Les conférenciers. À l’avant : Adriana Pacheco, Cheryl Milne, Dia Dabby, Lorraine Derocher, Marie-Paule Martel-Reny, Delphine Collin-Vézina, Brigitte Bareil et Safa Ben Saad. À l’arrière : Kahente Horn-Miller, David Koussens, Rabbin Reuven P. Bulka, Pascale  Berardino, Raphaël-Mathieu Legault-Laberge et Ashleigh Delaye.

Les conférenciers. À l’avant : Adriana Pacheco, Cheryl Milne, Dia Dabby, Lorraine Derocher, Marie-Paule Martel-Reny, Delphine Collin-Vézina, Brigitte Bareil et Safa Ben Saad. À l’arrière : Kahente Horn-Miller, David Koussens, Rabbin Reuven P. Bulka, Pascale  Berardino, Raphaël-Mathieu Legault-Laberge et Ashleigh Delaye.


Photo : Université de Sherbrooke

Organisé par le Centre d’études du religieux contemporain de l’Université de Sherbrooke, le Centre de recherche sur l’enfance et la famille de l’Université McGill, la Chaire de recherche Droit, religion et laïcité ainsi que le Centre de recherche Société, Droit et Religions de l’Université de Sherbrooke, le symposium Au croisement des univers juridique et religieux : le meilleur intérêt de l’enfant s’est tenu le 14 avril dernier au Campus de Longueuil.

Quelque quatre-vingts personnes, dont des acteurs religieux, des chercheurs, des travailleurs sociaux, des juristes et des représentants de l’État qui s’intéressent particulièrement à la question de l’enfant, de ses droits et de sa protection, ont exploré les univers religieux et juridique sous l’angle du meilleur intérêt de l’enfant (MIE).

Sur le plan religieux, le meilleur intérêt de l’enfant a été examiné sous l’angle du christianisme, du judaïsme, de l’islam, de l’hindouisme et des spiritualités autochtones. Sur le plan juridique, il a plutôt été question du MIE, de la liberté de religion et de la protection des enfants dans le contexte pluraliste canadien.

Quelque quatre-vingts personnes ont pris part à la réflexion.
Quelque quatre-vingts personnes ont pris part à la réflexion.

Photo : Université de Sherbrooke

« Ce symposium se veut une démarche de rapprochement et de dialogue entre les représentants de communautés religieuses, les chercheurs et les juristes, afin d’échanger sur les diverses conceptions du MIE. Il se veut également un lieu de discussion, afin de réfléchir aux modalités de prévention d’éventuels conflits entre l’État et certains groupes religieux extrêmes », a commenté Lorraine Derocher, professeure associée au Centre d’études du religieux contemporain et organisatrice de l’événement.